Le Nigéria franchit une étape majeure dans l’adoption des crypto-monnaies. La SEC nigériane vient d’accorder à Quidax, une plateforme crypto africaine, la toute première licence d’échange de crypto-monnaies du pays. Cette décision marque un tournant décisif dans la manière dont le gouvernement nigérian aborde l’innovation financière, ouvrant la voie à une nouvelle ère pour l’écosystème crypto local.

Le Nigeria se prépare à une transformation majeure de son cadre fiscal avec l’annonce d’une réforme qui inclura pour la première fois les crypto-monnaies. Ce changement, décrit comme « révolutionnaire », a été salué par diverses organisations, notamment l’association des professionnels nigérians de la diaspora. Alors que le pays s’efforce de moderniser ses politiques fiscales, cette réforme pourrait bien marquer un tournant dans l’adoption des actifs numériques au Nigeria.

L’évolution de Donald Trump, passant de sceptique à fervent partisan du Bitcoin, a pris de court bien des observateurs. Cette transformation révélée lors de la conférence Bitcoin 2024 à Nashville, découle d’une série de rencontres et de discussions stratégiques orchestrées par des figures influentes du secteur. Un rapport de CNBC dévoile les coulisses de ce revirement, soulignant l’impact d’une campagne ciblée menée par David Bailey, PDG du groupe de médias BTC Inc., et ses alliés.

Le Nigeria a enregistré une croissance de 3,19 % au deuxième trimestre de 2024. Ce chiffre marque une progression significative par rapport au trimestre précédent et reflète les efforts du gouvernement pour revitaliser l’économie malgré des défis persistants. La reprise de la production pétrolière a joué un rôle clé, tandis que le secteur non pétrolier a montré des signes de ralentissement.

La bataille pour le contrôle du minage de Bitcoin entre dans une nouvelle ère, avec Donald Trump en tête de file. L’ancien président américain, autrefois sceptique à l’égard des cryptomonnaies, se positionne désormais en défenseur acharné d’une industrie du Bitcoin « Made in USA ». Son objectif : affaiblir la domination écrasante de Bitmain Technologies, une entreprise chinoise qui contrôle près de 90 % du marché mondial des machines de minage.

La récente arrestation du fondateur de Telegram, Pavel Durov, par les autorités françaises a déclenché une série d’événements inattendus. En réponse, plusieurs sites Internet du gouvernement français ont été la cible de cyberattaques, laissant le pays en proie à une vague de critiques et de perturbations numériques.

Le bitcoin n’est pas étranger aux rebondissements. Cette fois, c’est en Thaïlande que l’action se déroule, où les autorités ont récemment mis fin à une opération illégale de minage de bitcoins. Cette intervention fait suite à des pannes de courant répétées dans une petite ville locale.