Le Royaume-Uni se prépare à franchir un cap décisif dans l’univers des actifs numériques. Une nouvelle loi introduite au Parlement pourrait bien redéfinir la notion de propriété en incluant les crypto-actifs. De quoi placer la nation britannique à l’avant-garde dans la régulation des technologies blockchain. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement pour le secteur et ses utilisateurs ? Plongeons dans les implications de cette législation audacieuse.

L’intelligence artificielle, autrefois reléguée au domaine de la science-fiction, est désormais au cœur des opérations de renseignement mondial. Aujourd’hui, les agences de renseignement américaines et britanniques, à savoir la CIA et le MI6, intègrent l’IA générative dans leurs stratégies pour faire face aux menaces globales. Sous la direction de Bill Burns et Richard Moore, ces deux agences réinventent la manière de protéger les intérêts nationaux tout en naviguant dans un paysage géopolitique de plus en plus complexe.

La SEC du Nigeria resserre son emprise sur les échanges de crypto-monnaies non réglementés. Dans un marché en pleine croissance, où les actifs numériques attirent de plus en plus d’investisseurs, la SEC nigériane a décidé de prendre des mesures décisives pour protéger les utilisateurs tout en favorisant l’innovation. Ce coup de filet sur les plateformes non conformes marque un tournant pour l’industrie crypto dans le pays. Alors que seuls deux échanges locaux sont actuellement réglementés, la régulation se durcit pour les autres acteurs.