Accueil Blog Page 9

Quidax Obtient la Première Licence Crypto de la SEC Nigériane !

Crypto
Quidax devient la première plateforme crypto au Nigéria. Source : Bref Crypto

Le Nigéria franchit une étape majeure dans l’adoption des crypto-monnaies. La SEC nigériane vient d’accorder à Quidax, une plateforme crypto africaine, la toute première licence d’échange de crypto-monnaies du pays. Cette décision marque un tournant décisif dans la manière dont le gouvernement nigérian aborde l’innovation financière, ouvrant la voie à une nouvelle ère pour l’écosystème crypto local.

Une percée significative pour Quidax et le Nigéria

L’obtention de cette licence par Quidax ne se limite pas à une simple autorisation d’exploitation.

Elle représente un symbole fort d’acceptation et de reconnaissance de l’importance croissante des crypto-monnaies dans l’économie nigériane.

Pendant longtemps, la SEC nigériane et la Banque Centrale du Nigéria ont affiché une certaine réticence, voire une hostilité, envers le secteur crypto. Cependant, cette nouvelle étape montre une volonté d’embrasser l’innovation, tout en assurant une réglementation rigoureuse.

Le cofondateur et PDG de Quidax, Buchi Okoro, a souligné que cette licence n’est pas le fruit d’un changement soudain de perspective, mais le résultat de plusieurs années de dialogue et d’efforts pour mettre en place un cadre réglementaire solide.

Cette reconnaissance officielle renforce la crédibilité de Quidax et donne confiance aux utilisateurs dans la sécurité et la légalité de leurs transactions sur la plateforme.

Un signal fort pour l’écosystème crypto africain

L’obtention de cette licence par Quidax envoie un message clair : le Nigéria, malgré les défis, est prêt à devenir un acteur clé sur la scène crypto mondiale.

Cette avancée pourrait bien inspirer d’autres pays africains à suivre le même chemin, en créant un environnement réglementaire propice à l’innovation tout en protégeant les investisseurs.

Pour Quidax, c’est l’opportunité de consolider sa position de leader en Afrique, en offrant une passerelle sûre et fiable pour le trading de crypto.

Cette licence ouvre non seulement de nouvelles perspectives pour la plateforme, mais elle établit également un précédent pour d’autres acteurs du marché, prouvant que l’innovation et la réglementation peuvent coexister harmonieusement.

Découvrez aussi : Sénégal : L’inflation chute à son plus bas niveau en 5 ans !

Crypto : 122 millions $ perdus en Australie à cause des escroqueries !

L’univers crypto, bien que prometteur, recèle aussi des dangers considérables. En Australie, les escroqueries liées aux crypto-monnaies ont causé des pertes dépassant les 122 millions de dollars en seulement 12 mois.

Les nouvelles méthodes des escrocs

Selon la police fédérale australienne (AFP), ces arnaques ciblent particulièrement les personnes de moins de 50 ans, exploitant leur intérêt pour les nouvelles technologies et les rendements rapides.

Les escrocs deviennent de plus en plus sophistiqués, utilisant des technologies avancées pour tromper leurs victimes.

L’une des méthodes en vogue, l’abattage de porcs, consiste à établir une relation de confiance avec la victime via les réseaux sociaux, pour ensuite l’inciter à investir dans un projet frauduleux.

Cette technique exploite la psychologie humaine, rendant difficile pour les victimes de discerner l’arnaque avant qu’il ne soit trop tard.

Parallèlement, les deepfakes, générés par l’intelligence artificielle, sont de plus en plus utilisés pour créer de fausses vidéos et audios de personnalités influentes comme Elon Musk.

Ces contenus trompeurs circulent ensuite pour promouvoir de faux projets d’investissement en Bitcoin et autres crypto-monnaies.

L’utilisation de ces technologies rend les escroqueries particulièrement convaincantes et difficiles à détecter, même pour les plus avertis.

Un phénomène alarmant et en pleine expansion

Les chiffres sont alarmants : près de 47 % des pertes liées aux escroqueries en Australie au cours de l’année dernière concernent les crypto-monnaies.

Et selon l’AFP, ce chiffre pourrait être sous-estimé, car de nombreuses victimes ne signalent pas ces crimes par honte ou par ignorance.

Les escrocs ciblent majoritairement les personnes âgées de moins de 50 ans, une population souvent plus exposée aux outils numériques et aux promesses de gains rapides.

Les répercussions de ces arnaques vont au-delà des pertes financières individuelles.

Les fonds volés alimentent souvent d’autres activités criminelles, comme le blanchiment d’argent ou le trafic de drogue. Il est donc essentiel pour les investisseurs de rester vigilants et de se méfier des opportunités qui semblent trop belles pour être vraies.

En bref, si l’univers crypto offre de nombreuses opportunités, il est crucial de naviguer avec prudence. Les escroqueries continuent de se multiplier et d’évoluer, rendant la vigilance indispensable pour protéger ses investissements.

Découvrez : Bitcoin sous les 60 000 $ : Le marché crypto sous haute pression !

Les EAU suspendent un contrat avec la France après l’arrestation du PDG de Telegram

Les EAU gèle un contrat important avec la France
Les EAU gèle un contrat important avec la France. Source : brefcrypto

Les Émirats Arabes Unis (EAU) ont suspendu un contrat majeur avec la France. Il s’agit d’un contrat portant sur l’achat de 80 avions de combat. Cette suspension fait suite à l’arrestation à Paris de Pavel Durov, fondateur de Telegram et citoyen émirati.

Un conflit diplomatique entre les EAU et la France

Pavel Durov, le créateur de Telegram et citoyen des Émirats arabes unis, a été arrêté à Paris par les autorités françaises à l’aéroport du Bourget. Ce geste, qui pourrait sembler anodin dans d’autres contextes, a rapidement pris une dimension internationale.

En effet, Durov n’est pas seulement un entrepreneur de renom, mais il est aussi personnellement proche du fils du Premier ministre des Émirats arabes unis.

Cette relation privilégiée avec les hautes sphères du pouvoir émirati a exacerbé la situation. Elle a de ce fait, provoqué une colère palpable au sein des cercles dirigeants des EAU.

À la suite de cette arrestation, le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis n’a pas tardé de réagir. En effet, il a exigé que la France fournisse à Durov l’accès à tous les services consulaires nécessaires. Par ce fait, il a souligné l’importance accordée à cette affaire par les autorités émiraties.

Cependant, la réponse des Émirats ne s’est pas limitée à des demandes consulaires. Ils ont immédiatement gelé un contrat majeur avec la France. Ce contrait porte sur l’achat de 80 avions de combat et vaut autour de 17 millions de dollars. On peut remarquer par ce geste le mécontentement et la gravité avec laquelle ils percevaient cette arrestation.

https://twitter.com/Zlatti_71/status/1828530189585805708
Post X

Les enjeux économiques et stratégiques en jeu

Les experts s’accordent à dire que la France a commis une grave erreur. Elle a en effet, provoqué la colère des Émirats arabes unis, un allié influent dans la région du Golfe. La suspension de ce contrat, d’une valeur stratégique et économique considérable pour Paris, n’est que la partie visible de l’iceberg. Ce contrat n’était pas seulement un accord commercial. Ce contrat était aussi un symbole de la coopération militaro-technique entre les deux pays..

Pour la France, il s’agit d’un contrat crucial qui aurait consolidé sa position en tant que fournisseur d’armement de choix pour les EAU. En suspendant ce contrat, les Émirats envoient un signal fort. En effet, ces derniers ne sont pas prêts à compromettre leurs intérêts souverains, même pour des accords économiques majeurs.

Pour la France, il est impératif de réparer les dégâts causés par cette affaire. Des efforts diplomatiques intenses seront nécessaires pour regagner la confiance des Émirats et pour sauver l’accord militaire. Toutefois, les Émirats, conscients de leur position de force, pourraient exiger des concessions importantes.

Sénégal : L’inflation chute à son plus bas niveau en 5 ans !

Senegal Inflation
"Le Sénégal enregistre une baisse historique de l'inflation. Source : Bref Crypto

Le Sénégal a récemment franchi une étape cruciale dans la stabilisation de son économie. En juillet 2024, le pays a enregistré son taux d’inflation le plus bas depuis cinq ans, atteignant un modeste 0,7 %.

Un soulagement pour les consommateurs, mais des défis persistent

La baisse de l’inflation est largement due à la réduction des coûts de l’alimentation et du logement. Non, ce n’est pas grâce au lancement d’un satellite dans l’espace pour surveiller les prix des oignons.

Les prix des produits alimentaires, essentiels pour la majorité des Sénégalais, ont chuté de 2 %, offrant un soulagement bienvenu.

De plus, les dépenses liées au logement, y compris l’eau, l’électricité, et le gaz, ont diminué de 0,8 %, renforçant cette tendance positive.

La baisse des prix internationaux des céréales, due à une meilleure production agricole dans l’hémisphère nord, a également joué un rôle crucial dans cette dynamique.

Cependant, cette image positive cache une réalité plus nuancée. L’économie sénégalaise reste marquée par des disparités sectorielles.

Alors que les prix locaux ont baissé de 2,8 %, les prix des produits importés ont augmenté de 4,2 %. Cette divergence souligne les défis auxquels le Sénégal doit encore faire face pour atteindre une stabilité économique durable.

Des développements encourageants pour le Sénégal, mais une vigilance nécessaire

Le Sénégal a montré une résilience notable face aux nombreux chocs économiques récents.

En 2023, l’économie a progressé, soutenue par la solidité du secteur primaire.

Après avoir atteint un niveau record de 14 % en 2022, l’inflation est tombée à 5,9 %, un signe encourageant pour l’avenir.

Toutefois, les inégalités économiques restent une préoccupation majeure, en particulier dans les zones rurales, où la pauvreté demeure fortement concentrée.

Les perspectives économiques du Sénégal restent globalement positives, mais le pays doit continuer à surveiller les déséquilibres existants.

Les disparités entre les secteurs et la dépendance aux importations nécessitent des solutions durables. Si la croissance se poursuit, il sera essentiel de garantir que ses bénéfices soient partagés équitablement, afin d’assurer une prospérité pour tous les Sénégalais. Pendant ce temps, le marché immobilier US s’écroule en juillet, comme un château de cartes sous une brise estivale.

Bitcoin sous les 60 000 $ : Le marché crypto sous haute pression !

Bitcoin baisse
Le Bitcoin plonge sous les 60 000 $. Source : Bref Crypto

Le bitcoin glisse sous les 60 000 dollars. Cette chute n’est pas un simple soubresaut : elle reflète une pression croissante sur l’ensemble des actifs numériques. Entre volatilité exacerbée et absence de catalyseurs clairs, le marché crypto traverse une phase critique.

Une chute brutale alimentée par divers facteurs

En l’espace de 24 heures, le Bitcoin a perdu 5,4 % de sa valeur, atteignant 59 600 dollars.

Cette baisse s’inscrit dans un contexte de ralentissement général du marché crypto, qui a dégringolé de 6,3 %.

Les autres cryptos majeures, comme l’Ether, ont subi des pertes encore plus sévères, avec une chute de 7,7 %. Solana et Dogecoin n’ont pas été épargnés, enregistrant respectivement des baisses de 7 % et 6,3 %.

Les analystes pointent du doigt une combinaison de facteurs. L’indice du dollar américain, survendu, pourrait rebondir, exerçant une pression supplémentaire sur les actifs à risque comme le bitcoin.

De plus, le fameux « effet septembre » accentue cette dynamique baissière, les investisseurs rééquilibrant leurs portefeuilles avant les élections américaines.

Les liquidations massives de positions longues, dépassant les 287 millions de dollars en 24 heures, ont aussi amplifié cette spirale descendante.

Le bitcoin sous pression technique et stratégique

Au-delà des facteurs macroéconomiques, les indicateurs techniques du Bitcoin montrent une situation délicate.

Sa moyenne mobile sur 50 jours, située autour de 61 991 dollars, représente un seuil critique.

Tant que le bitcoin se négocie en dessous, le risque d’une nouvelle chute vers 56 000 dollars persiste. Cette faiblesse technique s’accompagne d’une volatilité accrue, poussant les traders à se couvrir contre d’éventuelles baisses supplémentaires.

Parallèlement, l’Ether, deuxième crypto-monnaie en termes de capitalisation, rencontre des difficultés spécifiques.

Les ETF sur l’Ether continuent de voir des sorties nettes, et le réseau Ethereum fait face à une « crise d’identité », selon certains experts. Cette situation a exacerbé les ventes, notamment avec la Fondation Ethereum critiquée pour sa gestion budgétaire.

Le marché crypto est donc sous haute tension, avec un avenir incertain à court terme. Les investisseurs devront naviguer prudemment dans ces eaux agitées, alors que le bitcoin et d’autres actifs numériques tentent de trouver un nouveau point d’équilibre. Découvrez aussi : Bitcoin dégringole malgré l’accumulation de 10 milliards !

Bitcoin dégringole malgré l’accumulation de 10 milliards !

Bitcoin chute
une chute du Bitcoin sous les 60 000 $. Source : Bref Crypto

Le marché crypto ne cesse de surprendre, et le Bitcoin en est le parfait exemple. Alors que son prix chute en dessous de la barre des 60 000 dollars, les investisseurs à long terme continuent d’accumuler massivement, atteignant un impressionnant total de 10 milliards de dollars.

L’accumulation face à la chute du bitcoin : un paradoxe intrigant

Il est fascinant de constater que, malgré la dégringolade du bitcoin, les portefeuilles à long terme se remplissent.

Cette accumulation de 10 milliards de dollars révèle une confiance sous-jacente parmi les détenteurs de bitcoin à long terme.

Contrairement aux traders à court terme, ces investisseurs ne se laissent pas intimider par les fluctuations du marché. Ils voient dans cette baisse une opportunité d’acquisition plutôt qu’une menace.

Le concept de « capacité réalisée » joue ici un rôle clé. Il s’agit de la somme des valeurs auxquelles chaque Bitcoin a été acheté pour la dernière fois.

Ce chiffre est souvent utilisé pour évaluer la santé du marché. En ce moment, ce plafond réalisé dépasse les 10 milliards de dollars pour les détenteurs à long terme, une première historique selon les experts de CryptoQuant.

Cette situation indique que ces investisseurs se montrent résolus à conserver leurs actifs, quelles que soient les turbulences à court terme.

Une stratégie de long terme en terrain incertain

Les détenteurs de Bitcoin à long terme, qui ont conservé leurs actifs pendant plus de 155 jours, sont moins enclins à vendre lors des fluctuations du marché.

Cette approche résiliente a réduit la pression de vente de 3,7 fois depuis fin juillet, marquant un changement notable dans la dynamique du marché.

En dépit de la baisse récente, ces investisseurs semblent convaincus que le bitcoin retrouvera bientôt ses sommets.

Cependant, les traders restent prudents. Les investisseurs surveillent de près le seuil de support crucial à 50 000 dollars.

Une chute sous ce seuil pourrait entraîner une nouvelle vague d’incertitude.

Pourtant, ces mêmes traders reconnaissent également que le marché haussier pourrait encore avoir de beaux jours devant lui, même si des corrections à court terme sont inévitables.

Cette accumulation massive montre que les détenteurs à long terme misent sur une reprise future du Bitcoin. Ils sont prêts à attendre, à traverser les baisses, convaincus que la valeur à long terme de cette crypto justifie leur patience. Cette stratégie de « hodling » témoigne d’une foi inébranlable en l’avenir du Bitcoin, même lorsque les signaux à court terme sont loin d’être encourageants.

Découvrez : Bitcoin et Trump : les révélations surprenantes d’un rapport !

Le Bitcoin face à une baisse imminente, selon les Analystes !

Bitcoin chute

Le mois de septembre s’annonce délicat pour le Bitcoin, avec des signaux techniques et macroéconomiques pointant vers une possible baisse. Les analystes de Fairlead Strategies anticipent une période de correction pour la crypto-monnaie. Voici un aperçu des facteurs en jeu.

Un mois de septembre sous tension pour le Bitcoin

Septembre s’annonce difficile pour le Bitcoin, du moins si l’on se fie aux prévisions des experts du marché. 

Fairlead Strategies, un cabinet d’analyse technique de renom, tire la sonnette d’alarme.

Selon leur dernier rapport, plusieurs indicateurs suggèrent une pression baissière accrue pour la crypto phare.

Les tendances saisonnières ne jouent pas en faveur du Bitcoin. Historiquement, le mois de septembre est marqué par une faiblesse générale des actifs à risque, et le Bitcoin, étant l’un des actifs les plus volatils, ne fait pas exception. 

L’analyse met en avant l’apparition de signaux d’épuisement, qui pourraient déclencher une nouvelle correction du marché. 

Les indicateurs techniques, tels que les stochastiques et l’outil DeMARK, confirment cette perspective morose.

Une fois les stochastiques quotidiens tombés sous le seuil des 80%, la probabilité d’un test de support autour des 56 500 $ s’accroît considérablement.

Les facteurs macroéconomiques et techniques en jeu

En plus de ces indicateurs techniques, des facteurs macroéconomiques viennent compliquer la situation.

La force du dollar américain, qui entretient une corrélation inverse avec le Bitcoin, pourrait accentuer la pression sur la crypto.

Fairlead Strategies souligne que l’indice du dollar semble prêt à rebondir, ce qui, historiquement, a toujours pesé sur le prix du Bitcoin. 

Cette situation pourrait donc freiner toute tentative de reprise à court terme, voire prolonger la période de stagnation actuelle.

Malgré ces prévisions pessimistes pour les semaines à venir, il est important de noter que la dynamique à moyen terme est également en perte de vitesse.

Le rapport mentionne qu’un signal mensuel de contre-tendance, également basé sur les indicateurs DeMARK, pourrait prolonger cette phase de correction jusqu’à deux mois supplémentaires.

Ce manque de dynamisme pourrait éloigner le Bitcoin de ses récents sommets et prolonger l’incertitude qui entoure les marchés crypto.

Une perspective long terme plus optimiste ?

Malgré ces avertissements, tout n’est pas sombre pour le Bitcoin. 

Fairlead Strategies reste optimiste sur le long terme, maintenant une perspective haussière une fois la tempête passée. 

Le rapport identifie des niveaux clés à surveiller, en particulier une résistance autour des 70 000 $. En attendant, les investisseurs devront faire preuve de prudence et surveiller de près les mouvements du marché.

Dans ce contexte, les performances d’autres crypto-monnaies attirent l’attention.

Des actifs comme Avalanche (AVAX), Chainlink (LINK) et Solana (SOL) montrent des signes de force relative par rapport au Bitcoin, suggérant que ces monnaies pourraient surperformer dans les mois à venir. Cependant, Ethereum (ETH) et Uniswap (UNI) semblent moins bien placés, affichant une faiblesse persistante.

Ainsi, si le Bitcoin traverse actuellement une zone de turbulences, l’avenir de la crypto reste incertain mais potentiellement prometteur. Les investisseurs devront naviguer avec prudence dans un marché où chaque fluctuation peut offrir des opportunités ou des risques accrus.

Découvrez : Crypto : Le Nigeria applaudit une réforme fiscale historique !

Inflation en hausse au Zimbabwe : ZiG sous pression pour la première fois !!!

Zimbabwe
Le Zimbabwe fait face à une hausse inattendue de l'inflation, mettant à l'épreuve le ZiG. Source : Bref Crypto

Le Zimbabwe fait face à une nouvelle épreuve alors que l’inflation grimpe pour la première fois depuis le lancement du ZiG, la monnaie nationale adossée à l’or. Introduit en avril 2024, le ZiG représentait l’espoir d’une stabilité économique pour un pays marqué par des décennies d’hyperinflation. Cependant, les récentes hausses des prix viennent mettre à l’épreuve cette jeune monnaie, soulevant des questions sur sa capacité à résister aux pressions économiques.

Un début prometteur pour le ZiG, mais des défis persistants

Le lancement du ZiG, ou Zimbabwe Gold, en avril 2024 a été accueilli avec optimisme. Le Ghana a même aussi suivi le pas du Zimbabwe.

Soutenue par des réserves d’or, cette nouvelle monnaie devait redonner confiance aux investisseurs et stabiliser une économie en proie à une inflation galopante.

Depuis sa création, le ZiG avait réussi à maintenir une certaine stabilité, offrant une bouffée d’air frais après l’échec du dollar zimbabwéen.

Cependant, en août 2024, l’inflation a fait un retour inattendu.

Les prix à la consommation ont augmenté de 1,4 %, renversant la tendance à la baisse observée en juillet.

Cette hausse est principalement due à l’augmentation des coûts des aliments et des boissons non alcoolisées, des produits essentiels pour la population.

Le ZiG, encore jeune, affronte désormais sa première véritable épreuve de robustesse.

Les défis à venir pour l’économie zimbabwéenne

Le ministre des Finances, Mthuli Ncube, avait déjà pris des mesures pour renforcer la demande de la monnaie nationale en exigeant que les services gouvernementaux soient payés en ZiG.

Cette politique visait à réduire la dépendance du pays au dollar américain et à stimuler l’utilisation de la nouvelle monnaie. Mais l’inflation croissante met en lumière les défis structurels auxquels l’économie zimbabwéenne reste confrontée.

La grave sécheresse qui frappe actuellement le pays exacerbe ces défis. Avec une pénurie alimentaire qui menace la stabilité, le gouvernement doit importer des céréales, ce qui risque d’accentuer la pression sur le taux de change.

Le ZiG, bien qu’adossé à l’or, doit faire face à des forces économiques puissantes qui pourraient déstabiliser sa trajectoire. Le Zimbabwe est à la croisée des chemins, et les prochains mois seront décisifs pour l’avenir de sa monnaie et de son économie. Découvrez par ailleur, La France subit des cyberattaques après l’arrestation de Durov !!!

Crypto : Le Nigeria applaudit une réforme fiscale historique !!!

Nigeria Crypto
Le Nigeria s'apprête à révolutionner son cadre fiscal. Source : Bref Crypto

Le Nigeria se prépare à une transformation majeure de son cadre fiscal avec l’annonce d’une réforme qui inclura pour la première fois les crypto-monnaies. Ce changement, décrit comme « révolutionnaire », a été salué par diverses organisations, notamment l’association des professionnels nigérians de la diaspora. Alors que le pays s’efforce de moderniser ses politiques fiscales, cette réforme pourrait bien marquer un tournant dans l’adoption des actifs numériques au Nigeria.

Un pas audacieux vers les cryptos

La réforme fiscale proposée par le Federal Inland Revenue Service (FIRS) ne se contente pas de suivre les tendances mondiales. En effet, elle aspire à les définir.

En modernisant les lois fiscales pour y inclure les crypto-actifs, le Nigeria envoie un signal fort aux investisseurs et aux entreprises locales.

Le président du FIRS, Zacch Adedeji, a clairement indiqué que cette réforme vise à harmoniser et simplifier le cadre fiscal du pays, tout en intégrant les avancées technologiques comme les crypto-monnaies.

Cette initiative arrive à un moment crucial, où le Nigeria cherche à attirer davantage d’investissements étrangers et à renforcer la confiance dans son marché financier.

L’ajout des crypto-monnaies à la législation fiscale se présente comme un « changement radical » susceptible de stimuler la croissance économique du pays.

Les règles claires proposées par le FIRS permettraient aux particuliers et aux entreprises de mieux comprendre leurs obligations fiscales, tout en protégeant les investisseurs.

Vers un système financier plus transparent

L’introduction de directives claires sur la taxation des crypto-monnaies pourrait avoir un impact significatif sur l’économie nigériane.

En effet, des organisations comme le Comité de coordination de l’industrie de la blockchain du Nigeria (BICCoN) ont souligné l’importance de cette réforme pour renforcer la transparence et la sécurité du système financier.

En effet, la répression récente du secteur des crypto-monnaies avait entraîné une baisse des investissements dans les startups web3 nigérianes.

Avec cette réforme, le Nigeria montre qu’il est prêt à s’adapter aux réalités du marché moderne, tout en protégeant son développement économique.

L’inclusion des crypto-monnaies dans la refonte fiscale, prévue pour septembre, représente un pas en avant vers un système financier plus transparent, sécurisé et prospère. Découvrez : La France subit des cyberattaques après l’arrestation de Durov !!!

Bitcoin et Trump : les révélations surprenantes d’un rapport !

Trump bitcoin rapport
Donald Trump est passé de sceptique à fervent partisan du Bitcoin. Source : Bref Crypto

L’évolution de Donald Trump, passant de sceptique à fervent partisan du Bitcoin, a pris de court bien des observateurs. Cette transformation révélée lors de la conférence Bitcoin 2024 à Nashville, découle d’une série de rencontres et de discussions stratégiques orchestrées par des figures influentes du secteur. Un rapport de CNBC dévoile les coulisses de ce revirement, soulignant l’impact d’une campagne ciblée menée par David Bailey, PDG du groupe de médias BTC Inc., et ses alliés.

Comment Trump est devenu pro-Bitcoin

Tout a commencé dans un steakhouse tranquille de Porto Rico. David Bailey, avec l’aide d’Amanda Fabiano, une figure clé du minage de Bitcoin, et Tracy Hoyos-López, une experte juridique et politique, ont élaboré une stratégie pour convaincre Trump des avantages du BTC. 

Leur objectif : aligner le bitcoin sur la vision de Trump pour la suprématie industrielle et l’indépendance énergétique des États-Unis. 

C’est lors de cette réunion informelle que le trio a décidé de préparer une table ronde avec Trump, afin de lui exposer les bénéfices économiques et stratégiques du minage de Btc. 

Cette initiative visait à positionner le Bitcoin comme une solution potentielle aux défis énergétiques américains et à contrer la domination technologique étrangère, notamment celle de la Chine. 

Leurs efforts concertés ont permis de capter l’attention de Trump et de transformer son scepticisme en soutien enthousiaste.

La table ronde qui a tout changé

Bailey a ensuite organisé une rencontre décisive à Mar-a-Lago, la propriété de Trump en Floride. Cette table ronde a réuni les principaux dirigeants du secteur minier de Bitcoin, offrant à Trump une opportunité unique d’explorer les aspects techniques et économiques du minage de Bitcoin. 

Les discussions ont mis en lumière le potentiel du BTC à renforcer l’économie américaine, tout en réduisant la dépendance aux énergies étrangères.

Ce n’était pas simplement une présentation technique ; c’était une démonstration de force de l’industrie. 

Les dirigeants ont présenté des arguments solides, soutenus par des chiffres impressionnants, convainquant Trump que l’industrie du Bitcoin pouvait jouer un rôle crucial dans l’avenir énergétique des États-Unis. 

Le rapport souligne que cette table ronde a été un tournant pour Trump, qui a réalisé l’ampleur du potentiel économique du Bitcoin.

Finalement, lors de la conférence Bitcoin 2024 à Nashville, Trump a surpris le monde en déclarant son soutien au BTC, allant même jusqu’à annoncer la création d’une réserve stratégique de bitcoins. 

Ce revirement marque non seulement une victoire pour le secteur, mais aussi un moment clé dans l’histoire du Bitcoin, qui s’affirme comme un acteur incontournable sur la scène mondiale.

L’économie nigériane bondit de 3 % au deuxième trimestre 2024 !

Nigeria hausse
Le Nigeria enregistre une croissance de 3 % au T2 2024. Source : Bref Crypto

Le Nigeria a enregistré une croissance de 3,19 % au deuxième trimestre de 2024. Ce chiffre marque une progression significative par rapport au trimestre précédent et reflète les efforts du gouvernement pour revitaliser l’économie malgré des défis persistants. La reprise de la production pétrolière a joué un rôle clé, tandis que le secteur non pétrolier a montré des signes de ralentissement.

L’essor de la production pétrolière

La production de pétrole brut a été un facteur déterminant dans la performance économique du Nigeria au T2 2024. Cela se passe alors que le pays veut miser sur la blockchain.

Avec une production atteignant 1,41 million de barils par jour, en hausse par rapport aux 1,22 million de barils par jour de l’année précédente, le secteur pétrolier a fourni un coup de pouce essentiel à l’économie.

Cette augmentation a permis d’atténuer les effets négatifs de la dévaluation du naira sur les autres secteurs, contribuant ainsi à la croissance globale du pays.

L’objectif du gouvernement de ramener la production quotidienne à environ 2 millions de barils d’ici la fin de l’année montre l’importance continue du pétrole pour l’économie nigériane.

Toutefois, il est essentiel de noter que cette dépendance au pétrole expose également le pays à des fluctuations du marché mondial, ce qui peut influencer sa stabilité économique à long terme.

Les défis du secteur non pétrolier au Nigeria

Malgré la bonne performance du secteur pétrolier, le secteur non pétrolier du Nigeria a montré des signes de ralentissement.

Avec une croissance de seulement 2,8 % au T2 2024, contre 3,6 % l’année précédente, les secteurs comme l’agriculture ont été particulièrement affectés.

L’agriculture, un pilier de l’économie nigériane, a vu son taux de croissance chuter à 1,4 %, un signe préoccupant pour un pays où ce secteur joue un rôle crucial dans l’emploi et la sécurité alimentaire.

Les réformes économiques introduites par le président Bola Tinubu depuis mai 2023 ont attiré des investissements étrangers, mais leur impact sur le secteur non pétrolier reste limité.

L’inflation élevée, qui devrait se stabiliser autour de 28 % d’ici la fin de 2024, constitue un autre défi de taille.

Malgré tout, le gouvernement reste optimiste et vise un taux de croissance de 3,8 % pour l’ensemble de l’année 2024, avec l’espoir d’un retour à des niveaux de croissance plus élevés dans les années à venir.

Découvrez : L’Argentine introduit Ethereum dans ses lycées !!!

Bitcoin : Trump s’attaque à la mainmise de la Chine sur le minage !

Trump Bitcoin
Trump défie la domination chinoise sur le minage de Bitcoin. Source : Bref Crypto

La bataille pour le contrôle du minage de Bitcoin entre dans une nouvelle ère, avec Donald Trump en tête de file. L’ancien président américain, autrefois sceptique à l’égard des cryptomonnaies, se positionne désormais en défenseur acharné d’une industrie du Bitcoin « Made in USA ». Son objectif : affaiblir la domination écrasante de Bitmain Technologies, une entreprise chinoise qui contrôle près de 90 % du marché mondial des machines de minage.

Une stratégie géopolitique et économique

Le revirement de Trump vis-à-vis du Bitcoin ne passe pas inaperçu. Lors de son premier mandat, il affichait un scepticisme certain à l’égard des cryptomonnaies.

Aujourd’hui, il change de cap, appelant à ce que le Bitcoin soit extrait, frappé et fabriqué sur le sol américain lors de la conférence Bitcoin 2024 à Nashville.

Derrière cette stratégie se cache une inquiétude croissante : la domination de Bitmain représente un risque pour la sécurité nationale des États-Unis.

Trump laisse même entendre que l’équipement de Bitmain pourrait être utilisé à des fins d’espionnage, une accusation qui, bien que non prouvée, trouve écho dans un climat de méfiance croissante envers la Chine.

Cette rhétorique a ouvert la voie à de nouveaux acteurs sur le marché du minage aux États-Unis.

Des startups comme Auradine, basée en Californie, émergent pour contester la suprématie de Bitmain.

Le PDG d’Auradine, Rajiv Khemani, a déclaré à Bloomberg que l’expansion du minage de Bitcoin aux États-Unis est non seulement une opportunité économique, mais aussi une nécessité stratégique pour réduire la dépendance à l’égard de la technologie chinoise.

Les mineurs américains se tournent vers des alternatives locales

L’initiative de Trump a déjà des répercussions concrètes. En mai, le président Joe Biden a ordonné à MineOne, une société minière chinoise, de quitter le Wyoming, citant des préoccupations liées à la sécurité.

Ce climat de suspicion a permis à des entreprises américaines comme Auradine et Core Scientific de s’imposer comme des alternatives viables à Bitmain. Auradine, par exemple, a levé 80 millions de dollars en avril et commence déjà à livrer ses premières machines de minage.

Core Scientific, l’un des plus grands mineurs de Bitcoin aux États-Unis, a également pris ses distances avec Bitmain en passant une commande avec Jack Dorsey’s Block.

Même des géants du secteur comme Marathon Digital Holdings, autrefois fidèles à Bitmain, réévaluent leurs options. Cette évolution souligne une volonté claire de diversifier les sources d’approvisionnement et de réduire la dépendance à l’égard des technologies chinoises.

Malgré ces défis, Bitmain demeure une force incontournable dans l’industrie, avec des machines qui restent les plus efficaces du marché et qui continuent de définir les standards.

Toutefois, avec un soutien politique croissant aux États-Unis et l’émergence d’alternatives locales, la bataille pour le contrôle du minage de Bitcoin ne fait que commencer.

Les prochains mois seront décisifs pour savoir si les États-Unis parviendront à affaiblir la domination chinoise sur cette industrie cruciale. Mais au fond, ce que tout le monde souhaite réellement, c’est une décentralisation véritable du Bitcoin, où chaque acteur peut y trouver son compte, libre des influences dominantes. Découvrez aussi la guerre déclarée aux banques par Trump.

Russie : Usage supervisé des crypto pour les échanges internationaux

La Russie teste l'usage des crypto à linternational
La Russie teste l'usage des crypto à linternational. Source : brefcrypto

La Russie s’apprête à tester l’utilisation des crypto pour les paiements transfrontaliers. Il s’agit d’un tournant significatif dans sa politique économique. Ce projet ambitieux débutera le 1er septembre et vient repondre aux pressions économiques accrues par les sanctions internationales.

L’émergence de la crypto comme alternative aux sanctions

Depuis l’imposition des sanctions internationales, la Russie a cherché des solutions pour maintenir ses flux commerciaux avec l’étranger. De ce fait la Russie a opté pour l’adoption de la crypto pour les paiements transfrontaliers.

Le rapport de Bloomberg révèle que la Russie commencera à tester cette nouvelle approche à partir du 1er septembre. Pour ce faire, elle va utiliser des bourses de crypto et des jetons numériques. Ce projet de test vise à contourner les obstacles financiers imposés par les sanctions américaines.

Ce choix stratégique est motivé par les difficultés croissantes que rencontrent les entreprises russes pour réaliser des transactions internationales. De ce fait, les crypto seraient un moyen pour la Russie d’atténuer les impacts négatifs des sanctions. De plus la Russie en profitera pour exploiter la flexibilité et la sécurité offertes par ces technologies.

Il s’agit d’une évolution majeure, surtout lorsque l’on se souvient qu’en janvier 2022, la banque centrale russe proposait encore une interdiction totale des crypto.

Un système national en mutation

Pour mener ces essais, la Russie s’appuie sur son système national de cartes de paiement, développé en 2014 par la banque centrale. Ce réseau, qui supporte les cartes Mir et les services de paiement interbancaire instantané. Ainsi, il a été sélectionné pour sa robustesse et sa capacité à gérer des transactions complexes, incluant désormais les échanges de crypto.

Entièrement régulé par la banque centrale, ce système garantit que les transactions respecteront les réglementations financières en vigueur. Elle offrira ainsi un cadre sécurisé pour les tests.

Ce n’est pas simplement une adaptation technique, mais une transformation en profondeur de l’infrastructure financière russe.

Perspectives et défis futurs

Rapellons que les paiements en crypto soint encore interdits en Russie pour les transactions domestiques. Cependant, cette nouvelle législation permet aux entreprises de les utiliser dans le cadre des échanges internationaux.

Les essais prévus pourraient, en cas de succès, conduire à la création de plateformes crypto sur les bourses de Moscou et de Saint-Pétersbourg dès l’année prochaine.

Cependant, l’incertitude réglementaire demeure, comme en témoigne la déclaration du ministre des Finances, Anton Siluanov, le 14 août. Bien que le gouvernement étudie activement la possibilité de légaliser les échanges de crypto, une solution définitive n’a pas encore été établie. La Russie devra également gérer les risques liés à la volatilité des crypto et à leur utilisation potentielle à des fins illicites.

Meta reconnaît avoir censuré certains contenus sur ses plateformes

Meta reconnaît avoir censuré des contenus
Meta reconnaît avoir censuré des contenus sur ses plateformes. Source : brefcrypto

L’arrestation du PDG de Telegram, Pavel Durov, a ravivé les débats sur la censure en ligne. Dans ce contexte, Mark Zuckerberg, PDG de Meta, a admis dans une lettre au Congrès américain que Facebook a cédé à la pression du gouvernement pour censurer certains contenus, notamment sur la COVID-19.

La pression gouvernementale au cœur des débats

Dans sa lettre, Zuckerberg reconnaît que Meta a subi des pressions considérables de la part du gouvernement américain. Ce dernier, notamment l’administration Biden-Harris, a exigé à Meta de modérer certains contenus, notamment ceux liés à la COVID-19.

Zuck admet que ces pressions ont conduit son entreprise à prendre des décisions controversées, comme la suppression de contenus humoristiques et satiriques, suscitant des frustrations au sein de son équipe.

Cependant, à la lumière de l’arrestation de Durov, cette lettre prend une signification particulière. Zuckerberg exprime des regrets quant à certaines décisions prises sous pression. Il affirme que Meta aurait dû faire preuve de plus de résistance. Il souligne que les plateformes de Meta, dont Facebook et Instagram, sont destinées à promouvoir la liberté d’expression dans un cadre sûr. De plus, elles doivent défendre contre les ingérences gouvernementales.

https://twitter.com/JudiciaryGOP/status/1828201780544504064
Post X du House Judiciary GOP 

Une vigilance accrue après les erreurs du passé

L’arrestation de Durov pour avoir refusé de coopérer avec les demandes de censure gouvernementale pourrait inciter d’autres leaders technologiques à adopter une position plus ferme.

Dans sa lettre, Zuckerberg fait écho à cette préoccupation. En effet, il rappele un incident survenu lors de l’élection présidentielle américaine de 2020. À l’époque, Meta avait rétrogradé un article du New York Post concernant des allégations de corruption impliquant le candidat Joe Biden, après des avertissements du FBI sur une possible désinformation russe. Zuckerberg admet que cette décision était une erreur. Ainsi, il annonce que des mesures ont été prises pour éviter que de telles erreurs ne se reproduisent.

En réponse aux récentes tensions entre les plateformes sociales et les gouvernements, Meta a ajusté ses politiques. Il veut à tout prix éviter de réagir de manière excessive aux pressions extérieures. En effet, il ne veut plus rétrograder de contenu avant d’avoir des preuves claires.

Meta veut une neutralité dans les cycles électoraux

À la veille de l’élection présidentielle américaine, qui oppose la vice-présidente Kamala Harris à l’ancien président Donald Trump, Mark Zuckerberg prend également soin de paraître non partisan.

Dans sa lettre, il aborde également la question des contributions qu’il a faites lors des élections présidentielles précédentes. Au cours de ces dernières, il soutenait l’infrastructure électorale via l’Initiative Chan Zuckerberg.

Bien sûr ses contributions ont été non partisanes. Mais il reconnaît que certaines analyses ont suggéré qu’elles auraient pu bénéficier à un parti plutôt qu’à un autre.

En réponse, Zuckerberg annonce qu’il n’entend pas renouveler ces contributions lors du prochain cycle électoral pour éviter toute apparence de partialité.

La France subit des cyberattaques après l’arrestation de Durov !!!

France attaque
L'arrestation de Pavel Durov, fondateur de Telegram, a déclenché une série de cyberattaques . Source : Bref Crypto

La récente arrestation du fondateur de Telegram, Pavel Durov, par les autorités françaises a déclenché une série d’événements inattendus. En réponse, plusieurs sites Internet du gouvernement français ont été la cible de cyberattaques, laissant le pays en proie à une vague de critiques et de perturbations numériques.

Cyberattaques : Une riposte numérique en France

Peu de temps après l’arrestation de Pavel Durov le 24 août, la France a été confrontée à une série de cyberattaques ciblant ses sites gouvernementaux.

Parmi les victimes, on compte le Tribunal administratif de Paris, le site de la Direction générale de la santé, et la page de la Cour de cassation.

Ces attaques par déni de service (DDoS) ont rendu ces sites inaccessibles, perturbant ainsi le fonctionnement de services essentiels.

Les premiers rapports, notamment d’Entropia Intel, suggèrent que ces cyberattaques pourraient être l’œuvre de hackers russes, agissant en représailles à l’arrestation de Durov.

Ces attaques vont bien au-delà de simples actes de piratage isolés. Elles prennent la forme d’une protestation numérique. Certains groupes, indignés par l’arrestation du fondateur de Telegram, les utilisent pour exprimer leur mécontentement.

Une arrestation sous le feu des critiques

L’arrestation de Pavel Durov a immédiatement suscité des réactions vives de la part de la communauté crypto et des militants de la liberté d’expression.

Pour beaucoup, cette arrestation reste une atteinte directe à la liberté numérique.

Emmanuel Macron, le président français, a tenté de désamorcer la situation en déclarant que l’arrestation n’était en aucun cas politique et que le système judiciaire français, indépendant du pouvoir politique, déciderait de l’issue de cette affaire.

Malgré ces assurances, les critiques se multiplient. En effet, des figures influentes comme Gabor Gurbacs, ancien directeur de la stratégie des actifs numériques chez VanEck, ont exprimé leur scepticisme quant aux motivations derrière cette arrestation.

Pour ces critiques, l’affaire Durov incarne une tension croissante entre les gouvernements et les acteurs du monde numérique. La question de la liberté d’expression se retrouve de plus en plus en balance avec les préoccupations de sécurité nationale.

Au moment où nous écrivons ces lignes, Pavel Durov n’a pas encore été formellement accusé de crime par les autorités françaises, ce qui laisse planer une incertitude sur la suite des événements.

Découvrez : La Russie réagit face à l’arrestation du PDG de Telegram

L’Argentine introduit Ethereum dans ses lycées !!!

Crypto Ethereum
Découvrez comment les lycées argentins intègrent Ethereum et la blockchain dans leurs programmes, offrant aux étudiants une éducation innovante en technologie. Source : Bref Crypto

L’Argentine prend une direction audacieuse pour façonner l’avenir de ses jeunes citoyens. Le gouvernement a décidé d’introduire Ethereum dans le programme scolaire des lycées de Buenos Aires.

Cette initiative, pionnière en son genre, vise à équiper les étudiants des compétences nécessaires pour naviguer dans un monde de plus en plus numérique. Mais pourquoi Ethereum, et pourquoi maintenant ?

Ethereum : Un nouvel outil pédagogique pour les lycéens

Le ministère argentin de l’Éducation, en partenariat avec la Fondation ETH Kipu, a lancé un programme novateur pour enseigner Ethereum et la blockchain dans les lycées de Buenos Aires.

Cette initiative n’est pas seulement théorique. En effet, les lycées proposeront également des stages pratiques en blockchain pour permettre aux étudiants de mettre la main à la pâte.

Le premier cours débutera le 27 août, marquant le début d’une nouvelle ère éducative en Argentine.

La formation inclura un cours en ligne dédié à Solidity, le langage de programmation utilisé pour créer des contrats intelligents sur Ethereum.

L’objectif est de former 500 étudiants de plus de 18 ans au développement d’applications décentralisées (DApps).

Ce programme ne se limite pas à l’enseignement des bases. En effet, il ambitionne de préparer 30 instructeurs spécialisés qui transmettront ces compétences cruciales aux jeunes apprenants.

En intégrant Ethereum dans les programmes scolaires, l’Argentine mise sur l’avenir.

Comme l’a déclaré Paula Doy, cofondatrice de l‘ETH Kipu, cette initiative ne se contente pas d’enseigner une technologie ; elle donne aux étudiants les outils pour « façonner l’avenir ».

En effet, comprendre la blockchain et maîtriser des langages comme Solidity peut ouvrir des perspectives de carrière dans des secteurs en pleine expansion.

Une réponse à la crise économique par l’innovation

L’introduction d’Ethereum dans les écoles argentines intervient dans un contexte économique particulièrement difficile.

Avec un taux d’inflation annuel de 276 %, l’Argentine est confrontée à des défis majeurs qui poussent ses citoyens à chercher des solutions alternatives pour protéger leur patrimoine.

L’adoption des crypto-monnaies dans le pays a explosé, les Argentins se tournant massivement vers des actifs numériques comme le Bitcoin et l’Ethereum pour échapper à la dépréciation de leur monnaie locale.

Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que le gouvernement cherche à intégrer les cryptomonnaies dans l’éducation nationale.

En familiarisant les jeunes avec Ethereum, l’Argentine prépare non seulement une nouvelle génération de citoyens capables de comprendre et d’utiliser ces technologies, mais elle renforce également sa position dans l’écosystème mondial des crypto-monnaies.

Les statistiques parlent d’elles-mêmes : l’Argentine est l’un des pays les plus actifs en matière de crypto-monnaies, avec des millions de ses citoyens utilisant des plateformes comme Binance pour échanger et stocker des actifs numériques.

Binance : Crypto en un clic pour 4 pays africains !

Binance Crypto
Binance révolutionne l'accès au Bitcoin en Afrique. Source : Bref Crypto

Binance continue de se positionner en tant que leader de l’innovation. Cette fois-ci, c’est en Afrique que Binance fait un grand pas en avant, en lançant une nouvelle fonctionnalité révolutionnaire : le One Click Buy and Sell (OCBS).

Une révolution pour l’accessibilité du Bitcoin en Afrique

L’Afrique est un continent aux potentialités immenses, mais encore largement sous-bancarisé.

Pour beaucoup, l’accès aux services financiers traditionnels reste un défi quotidien.

C’est ici que Binance intervient avec son initiative OCBS, une solution qui pourrait transformer l’écosystème financier africain.

Cette option, désormais disponible pour les utilisateurs du Ghana, de Tanzanie, d’Ouganda et de Zambie, permet d’acheter et de vendre des crypto-monnaies, y compris le Bitcoin, avec une facilité déconcertante.

En permettant aux utilisateurs d’acheter et de vendre des cryptos, notamment le Bitcoin, via de l’argent mobile, Binance brise les barrières d’entrée pour des millions de personnes.

L’intégration de l’argent mobile n’est pas un choix anodin. En Afrique, l’argent mobile est plus qu’un simple moyen de paiement ; c’est une infrastructure financière essentielle pour des millions de personnes.

Avec cette nouvelle fonctionnalité, les utilisateurs peuvent désormais accéder à Bitcoin et autres cryptos directement depuis leurs comptes mobile money, sans avoir besoin d’un compte bancaire.

Une simplicité qui pourrait bien marquer le début d’une adoption massive des crypto-monnaies sur le continent.

Mais ce n’est pas seulement une question de commodité. En facilitant l’accès aux actifs numériques, Binance contribue à l’inclusion financière, permettant à des populations historiquement exclues du système bancaire traditionnel de participer à l’économie numérique mondiale.

Ce mouvement s’inscrit dans la vision plus large de Binance : accroître la liberté financière et démocratiser l’accès aux actifs numériques à travers le monde.

Un impact stratégique pour Binance et l’avenir du Bitcoin

Le lancement de cette fonctionnalité OCBS ne se limite pas à l’Afrique ; il fait partie d’une stratégie plus large pour Binance, qui continue de croître et de dominer le marché mondial crypto.

Avec plus de 200 millions d’utilisateurs enregistrés en 2024, Binance représente à lui seul environ 36 % de la base mondiale d’utilisateurs de crypto-monnaies.

Cette nouvelle fonctionnalité pourrait non seulement consolider la position de Binance en Afrique, mais aussi influencer la manière dont le Bitcoin et autres cryptos sont perçus et utilisés sur le continent.

Pour les utilisateurs du Ghana, de Tanzanie, d’Ouganda et de Zambie, ce lancement ouvre des perspectives nouvelles. Le Bitcoin, autrefois perçu comme un actif complexe et inaccessible, devient maintenant aussi simple à acheter qu’à envoyer un SMS.

Cette simplicité pourrait bien inciter une nouvelle vague d’adoption, non seulement pour le Bitcoin, mais pour l’ensemble des crypto-monnaies.

Découvre : Le PDG de Telegram arrêté, Pavlovski quitte l’Europe !!!

Bitcoin : La Thaïlande réagit, mine illégale détruite !!!

Bitcoin mINING
le démantèlement d'une mine illégale de bitcoins en Thaïlande; Source : Bref Crypto

Le bitcoin n’est pas étranger aux rebondissements. Cette fois, c’est en Thaïlande que l’action se déroule, où les autorités ont récemment mis fin à une opération illégale de minage de bitcoins. Cette intervention fait suite à des pannes de courant répétées dans une petite ville locale.

Une exploitation clandestine révélée par des pannes

Tout a commencé par des coupures de courant inhabituelles qui ont semé la panique parmi les habitants de Ratchaburi, une province paisible de la Thaïlande située à l’ouest de Bangkok. 

Ces pannes, survenues à partir de la mi-juillet, ont rapidement attiré l’attention des autorités locales, qui ont mené l’enquête pour découvrir leur cause. Il s’est avéré que ces interruptions étaient causées par une mine de bitcoins opérant en toute clandestinité.

Les autorités thaïlandaises, en collaboration avec la police locale, ont effectué une descente dans une maison suspecte, révélant une installation de minage sophistiquée mais illégale.

Cette mine consommait une quantité astronomique d’électricité, sans pour autant régler ses factures. 

Selon Jamnong Chanwong, responsable de la sécurité du district, l’exploitant avait payé une somme dérisoire comparée à la consommation réelle, provoquant ainsi une surcharge du réseau électrique local et, par conséquent, les fameuses pannes.

L’Asie du Sud-Est, nouvel eldorado du Bitcoin

La Thaïlande n’est pas le seul pays de la région à faire face à ce genre de problèmes. Depuis l’interdiction du minage de cryptomonnaies en Chine en 2021, les pays d’Asie du Sud-Est sont devenus des destinations privilégiées pour les mineurs de bitcoins en quête d’électricité bon marché et de régulations moins strictes. La Malaisie, en particulier, a vu une explosion des activités de minage illégales.

La semaine dernière, les autorités malaisiennes ont détruit près de 1 000 machines de minage, d’une valeur totale de près d’un demi-million de dollars, dans le cadre d’une vaste opération de répression contre le vol d’électricité. 

Les activités de minage de bitcoins, bien que lucratives, restent énergivores et peuvent avoir un impact dévastateur sur les infrastructures locales. Surtout lorsqu’elles sont menées de manière illégale. 

Les gouvernements de la région prennent désormais des mesures drastiques pour endiguer cette pratique, comme en témoignent les récentes arrestations et destructions d’équipements en Malaisie.

Pour les mineurs de bitcoins, l’incident de Ratchaburi est un rappel brutal que la recherche de profits rapides par des moyens illégaux peut avoir des conséquences désastreuses.

Le Bitcoin, bien qu’il représente une révolution technologique et financière, doit évoluer dans le respect des lois locales pour assurer sa pérennité et son acceptation mondiale.

La Russie réagit face à l’arrestation du PDG de Telegram, Zuckerberg dans le viseur des analystes

La Russie réagit à l'arrestation du PDG de Telegram
La Russie réagit à l'arrestation du PDG de Telegram. Source : brefcrypto

La chaîne publique russe TASS a rapporté que le ministère russe des Affaires étrangères s’efforce de clarifier les circonstances entourant la détention de Pavel Durov, fondateur et PDG de Telegram. L’ambassade de Russie à Paris a indiqué qu’elle enquêtait sur la situation, bien que les représentants de Durov n’aient pas encore pris contact avec elle.

La réaction de la russie face à l’arrestation

Après l’arrestation de Pavel Durov, fondateur et PDG de Telegram, le ministère des Affaires étrangères russe a immédiatement cherché à clarifier les raisons de cette détention.

L’ambassade de la Russie à Paris a confirmé que, bien que les représentants de Durov ne les aient pas contactés, des démarches diplomatiques étaient en cours pour élucider la situation.

Maria Zakharova, porte-parole du ministère, a évoqué la réaction internationale quant à l’interdiction de Telegram par la Russie en 2018. Elle a posé une question importante aux pays occidentaux, qui avaient alors protesté contre cette interdiction. Elle demande si ces derniers allaient exiger la libération de Durov ou rester silencieux cette fois-ci.

Les implications pour la sécurité des données

L’arrestation de Durov a suscité des inquiétudes quant à la sécurité des données des utilisateurs de Telegram. Soulignons que Telegram compte aujourd’hui environ 900 millions d’utilisateurs mensuels.

Vladislav Davankov, législateur russe, a exprimé des craintes. Pour lui, cette détention pourrait mettre en péril les informations sensibles des utilisateurs.

Il a exhorté le ministre des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, à intervenir pour protéger ces données. Au besoin, ce dernier peut engager des discussions diplomatiques avec les autorités françaises.

Telegram, depuis sa création, a toujours été une plateforme phare en matière de confidentialité des communications. C’est ainsi qu’elle a attiré une vaste communauté, notamment dans le monde de la crypto.

Il se peut que cette arrestation soit perçue comme une tentative d’accéder ou de compromettre les données des utilisateurs. Si tel est le cas, cela pourrait avoir des répercussions majeures sur Telegram. De plus, cela pourrait affecter la confiance des utilisateurs dans les plateformes de communication chiffrées.

Qu’en est il des autres plateformes ?

Les médias ont suggéré que la détention de Durov pourrait être liée à des contenus illégaux partagés sur Telegram. Toutefois, la Russie soupçonne des motifs politiques. En effet, pour la Russie, le fondateur de Telegram, Pavel Durov, est un « prisonnier politique et une victime de la chasse aux sorcières menée par l’Occident ».

Dans un récent tweet, Naomi Seibt a vivement critiqué les autres plateformes de communications. Pour elle, Mark Zuckerberg, facilite les activités des prédateurs d’enfants sans subir de conséquences légales. Elle dénonce ce qu’elle perçoit comme une application de la loi à deux vitesses. En effet, les défenseurs de la liberté d’expression sont considérés comme une menace majeure pour le système en place.

Seibt conclut en qualifiant Pavel Durov et Elon Musk des indomptables, soulignant ainsi leur résistance aux tentatives de contrôle par les autorités.

https://twitter.com/SeibtNaomi/status/1827491525338837451

Le PDG de Telegram arrêté, Pavlovski quitte l’Europe !!!

Telegram PDG
Telegram fait face à l'expulsion dramatique de l'Europe. Source : Bref Crypto

L’arrestation de Pavel Durov, PDG de Telegram, par les autorités françaises a déclenché une onde de choc dans le monde de la tech. En réaction, Chris Pavlovski, PDG de Rumble, a immédiatement quitté l’Europe. Cet événement révèle des enjeux cruciaux : liberté d’expression, régulation numérique, et tensions géopolitiques. Décortiquons cette affaire.

Un géant de la messagerie sous pression

Telegram, fondée par Pavel Durov, s’est imposée comme une des plateformes de messagerie les plus sécurisées et les plus populaires au monde. 

Avec près d’un milliard d’utilisateurs, elle est devenue une source d’informations vitale pour de nombreux internautes.

Cependant, cette popularité s’accompagne de responsabilités énormes, notamment en ce qui concerne la modération des contenus illégaux.

L’arrestation de Durov le 24 août à l’aéroport de Paris-Le Bourget marque un tournant décisif dans l’histoire de Telegram. 

Les autorités françaises l’accusent de ne pas coopérer suffisamment dans la lutte contre les crimes perpétrés via sa plateforme. 

Les enquêtes se concentrent sur des accusations graves, allant du trafic de drogue à la fraude en passant par le terrorisme.

Durov, citoyen français d’origine russe, a toujours maintenu que Telegram respecte les lois de l’Union européenne et que la modération des contenus est en constante amélioration.

Rumble : La réponse de Pavlovski

En réponse à cette arrestation, Chris Pavlovski, PDG de Rumble, a annoncé avoir quitté l’Europe, affirmant que la France avait « franchi une ligne rouge ». 

Rumble, connu pour sa position anti-censure et sa popularité auprès des conservateurs, est souvent vu comme une alternative à YouTube, prônant la liberté d’expression sans compromis.

La décision de Pavlovski de quitter l’Europe n’est pas sans précédent. Rumble avait déjà bloqué l’accès aux utilisateurs français en novembre 2022, en réaction à une demande du gouvernement français de supprimer certaines sources d’information russes. 

Pavlovski avait alors affirmé qu’il contesterait cette demande sur le plan légal. De plus, en mai, la Russie avait bloqué Rumble pour avoir refusé de se plier à ses exigences de censure.

La fuite de Pavlovski peut être interprétée comme une protestation contre ce qu’il perçoit comme une ingérence excessive des gouvernements dans les affaires des plateformes numériques. 

Elle souligne également les tensions croissantes entre les régulateurs européens et les entreprises technologiques.

En conclusion, l’arrestation de Durov et la réaction de Pavlovski ne sont que la partie visible d’un iceberg beaucoup plus vaste.

Découvrez : Bitcoin cassé : Les frais de transaction explosent !